L’expression « bouffer du curé » signifie être violemment anticlérical ou exprimer un rejet fort de l’Église et de ses représentants. Le terme « bouffer », qui signifie « manger », est utilisé ici de manière figurée pour indiquer un comportement ou une attitude particulièrement agressive ou acerbe envers le clergé ou les institutions religieuses.

Origine de l’expression

L’expression provient d’un terme familier (« bouffer ») qui, dans un sens exagéré, désigne l’action de « manger » quelque chose. « Bouffer du curé » évoque donc une posture extrême d’hostilité à l’égard du clergé, parfois associée à des discours ou comportements antireligieux ou irrévérencieux.

Exemples d’utilisation

Dans un contexte politique :

« Cet athée bouffe du curé en permanence. Il n’a aucune patience pour les discours religieux. »

Dans un contexte de critique sociale :

« Lors des débats sur la laïcité, certains bouffent du curé sans nuance, comme si l’Église était responsable de tous les maux de la société. »

Dans un cadre humoristique ou moqueur :

« Il a un petit côté révolté, toujours prêt à bouffer du curé dès qu’il entend parler de religion. »

Contexte et usage

L’expression est souvent utilisée de manière familière, et parfois péjorative, pour décrire quelqu’un qui exprime de manière brutale et sans retenue son opposition à l’Église, au clergé ou à l’influence religieuse dans la société. Cela peut aussi se rapporter à des discours ou des actions qui visent à dénigrer les institutions religieuses.


« Bouffer du curé » est une expression populaire qui dénote un anticléricalisme virulent, souvent utilisé pour critiquer ceux qui rejettent l’Église ou les institutions religieuses de manière sévère ou agressive.

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